Ndio! Aaniin! Shé:kon!

Aftermetoo souhaite reconnaître les peuples autochtones qui sont les gardiens traditionnels des terres et des eaux où nous vivons et travaillons. Nous souhaitons reconnaître et honorer leur sagesse et leur résilience.

Ce site Web a été créé par des personnes vivant et travaillant à différents endroits, principalement sur les territoires traditionnels des Anishinaabeg (ᐊᓂᔑᓈᐯᒃ), des Hurons-Wendat, des Haudenosaunee et des Mississaugas of the Credit (Michi Saagiig), ainsi que sur les territoires traditionnels des Iroquois du Saint-Laurent, des Kanienʼkehá:ka et des Haudenosaunee s’étendant au nord-est à partir d’Akwesásne.

Aftermetoo reconnaît que les peuples des Premières Nations, des Inuits et des Métis ont vécu des centaines d’années de colonisation, de persécution et de violence structurelle continue qui ont eu, et continuent d’avoir, des répercussions dévastatrices sur de nombreux aspects de leurs vies. Nous croyons qu’en tant que colons, nous devons rendre des comptes à ce sujet, afin que nous puissions avancer avec les peuples autochtones vers un avenir de conciliation.

Nous affirmons comprendre que le Canada doit reconnaître et respecter les droits des peuples des Premières Nations, des Inuits et des Métis issus de traités et de la Constitution ainsi que leurs droits de la personne en tant que peuples originaux de cette terre et peuples capables d’autodétermination. Nous comprenons qu’en tant que Canadiens, nous avons la responsabilité de respecter les peuples autochtones, de soutenir leur revitalisation culturelle, et de déployer des efforts en vue de rendre le Canada plus juste et plus équitable dans ses relations avec les peuples autochtones.

Nous sommes toujours en train d’apprendre. Si nous avons commis une erreur dans le présent texte, nous vous serions reconnaissants de nous en aviser afin que nous puissions la corriger.

Tiawenhk! Miigwech! Niawen’kó:wa!


Pour rédiger cette reconnaissance territoriale, nous avons consulté de nombreuses sources. Nous sommes reconnaissants d’avoir bénéficié des ressources suivantes: les sites Web Native Land Digital et Whose Land, ainsi que les écrits au sujet de la reconnaissance territoriale de Miranda Black, de Mnawaate Gordon-Corbiere, du Native Governance Center et de âpihtawikosisân (Chelsea Vowel). Nous avons également bénéficié des ressources suivantes, que nous recommandons fortement aux personnes qui cherchent à mieux comprendre les peuples autochtones et les effets que la colonisation a eus sur eux.